Tout comme en imagerie, le suivi automatique reste essentiel pour pouvoir se poser de longs moments sur l’objet. Mais en dessin, il faut songer en plus au confort de l’observateur. Ici, j’ai opté pour un système un peu inédit : un tabouret réglable en hauteur disposé sur une longue passerelle elle-même réglable sur 3 niveaux. Je peux donc à la fois dessiner ou me mettre debout pour collimater le T600 ou bien encore changer de roue à filtre sans avoir besoin de déplacer la passerelle. Bien qu’ouvert à 3,55, la hauteur de regard pour un objet au zénith avoisine les 2 mètres 10 de haut… Dans ces conditions, l’escabeau inconfortable, solution primitive, me sert uniquement lors des nuits turbulentes.